jeudi 28 juin 2012

Vogue Tales

Koissé ?
Time Management, magasin de la Fashion

Mézencor ?
Servir les clients qui se présentent  en leur confectionnant la fringue de leurs rêves, le tout dans une ambiance steampunk.

Premières impressions
Ce casual game est l'un de mes préférés. J'y ai joué il y a un moment (il est sorti en 2008) mais j'en garde un très (très) bon souvenir. Les graphismes sont d'enfer, la jouabilité au top et les graphismes sont d'enfer (euh...). Le thème steampunk (XIXème siècle, machines à vapeur, wikipedia est ton amie) n'est pas fréquent dans les jeux qui préfèrent le classique med-fan ou le contemporain/futuriste donc là, je me suis régalée.

Images
La petite histoire : Wendy est donc couturière (on n'échappe jamais à la petite histoire) et elle se fait chouraver les secrets de grand-mère pour devenir la nouvelle Galliano (mais sans les dérapages alcoolisés, c'est le plus dur). Elle part à la poursuite du péquenaud et en chemin, ben, elle bosse parce qu'on est pas chez les Bisounours.
Écran de jeu : les clients sont sur le canapé à gauche, demandant une nippe. On attrape le modèle en bas, on le colle sur le rouleau de tissu de la bonne couleur en haut, on ajoute éventuellement des froufrous à droite et hop, on encaisse. A l'aise Blaise.
Magasin : comme souvent dans ce genre de jeu, entre chaque niveau, un magasin est disponible pour dépenser les pépètes gagnées auparavant. On achète des équipements dans le but d'améliorer ses performances pour gagner encore plus de pépètes.
Les clients : chaque type de client est présenté avec des indices sur la façon de le traiter en jeu. Par exemple, celui-ci n'a pas de patience et doit être servi rapidement sinon il fout le feu à la baraque (en gros).
Ecran de jeu plus avancé : l'un des derniers niveaux. Plus de clients, plus d'options, c'est normalement le moment où on se met à cliquer partout. Frenzy !
Carte : pour Vogue Tales, 40 niveaux répartis en 4 lieux différents (avec la Tour Eiffel qui scintille). Rien d'insurmontable, 40 niveaux, c'est ni trop long ni trop court.
Le dernier niveau : vaincu avec brio, évidemment.
Écran de fin : qui laissait présager une suite. Pas de nouvelles de Vogue Tales 2 à ce jour.

Au final :
J'adore ce jeu non seulement pour ses graphismes mais aussi pour sa jouabilité, son ambiance, tout. Nevosoft (le développeur) est responsable des séries My Kingdom for the Princess et Farm Craft (dont je reparlerai), des gens qui savent un peu ce qu'ils font donc.
Je recommande chaudement !

Fiche technique :
Nom : Vogue Tales
Éditeur : Big Fish Games (USA)
Développeur : Nevosoft (Russie)
Date de sortie : février 2008
Type de jeu / nombre de niveaux : Time management / 40

dimanche 17 juin 2012

Burger Bustle 2 Ellie's Organics

Koissé ? 
Time management, gestion de restaurant

Mézencor ?
Des objectifs à remplir pour chaque niveau (vendre tant de big macs, servir x clients) dans un temps limité (plus vite fini, plus de thunes).

Premières impressions
Comme le premier opus, Burger Bustle n'est pas un jeu pour épileptiques. Faut cliquer comme des neuneus partout et il est très difficile de passer les niveaux dans le temps imparti. Et ça, ça me frustre (non, en vrai, ça m'agace au plus haut point).

Images et précisions

Écran d'accueil : voir tout en haut du message, je vais pas coller la même image 36 fois, ça va bien.
Déjà la madame avec son sourire Colgate, elle fait peur. Ensuite, pas le choix du mode de jeu. Premier signe d'agacement.
La petite histoire : Ellie est serveuse dans un resto de la World Company. Elle se rend compte que son patron est un enfoiré qui préfère le pognon à la qualité de la bouffe. Outrée devant tant de capitalisme méchanceté, elle décide d'ouvrir un mcdo bio avec l'aide de petits poneys.
La carte des niveaux : Ellie est une serveuse niaise mais comme toute Américaine, elle a de l'ambition (et déjà le sourire ultra brite, c'est toujours ça d'économisé). Elle va donc ouvrir ses bouges bio all around the world. Les points gagnés chaque niveau permettent de gravir les échelons de la renommée (purée, c'est beau). Pour l'instant, Ginette est au niveau des pâquerettes. 
Objectifs : chaque niveau a des objectifs à atteindre. S'ils sont remplis dans le temps imparti, on gagne pas mal de points. Sinon on reste un pauvre loser de la frite.
Awards : à chaque foi que l'on dépasse un concurrent dans le classement, on gagne un trophée qui est sensé nous faciliter la vie. Morale : écrase tes petits camarades, c'est bon pour ton karma.
Écrans de jeu : par exemple, le dernier niveau. On fabrique les burgers (en bas), on les stuff éventuellement en fonction des desideratas des clients (sur la gauche) et on ajoute des desserts (à droite), toujours si Kevin ou Mme Cupinsé a envie (il y a différents styles de clients).
On peut aussi acheter des gens aka engager du personnel pour remplir les postes de travail et aller plus vite. C'est la base du truc. Pas acheter des gens mais aller vite, toujours plus vite.
Pour comparer, le premier niveau où les stations de travail sont quasiment toutes fermées.
Score final : mon résultat, une fois avalés tous les niveaux. Je suis dans les 10 premiers mais ce fut laborieux (et pas exempt de grognements divers et variés).
Aide : il y a des pages d'aide, plutôt bien faites et bien fournies.
LE truc qui m'agace : on ne peut jouer en relax que si on s'est tapé tous les niveaux et si on finit 1er ou 2ème. Donc une fois qu'on est devenu dingue et spasmophile, on peut éventuellement envisager de recommencer mais coolos. Y'a une couille dans le pâté, les gens...

Au final :
Oué oué oué. Ce jeu aurait pu être bien, voir très bien mais il a des défauts rédhibitoires pour moi. Ou alors, je sais pas jouer (mais ça m'étonnerait).

Fiche technique :

Nom : Burger Bustle 2 Ellie's Organics
Éditeur : Big Fish Games (USA)
Développeur : Sulus Games (Russie)
Date de sortie : mai 2012
Type de jeu : Time Management
Nombre de niveaux : 64 pour le monde classique, plus un mode survival et relax (pour ceux qui arriveront à les débloquer).