mardi 19 mai 2009

Cake Shop

Aujourd'hui, prems à se voir décortiquer : Cake Shop.Une blondasse sort de la fac, envoie une lettre de motivation toute pourrite et est engagée pour devenir Café Manager. Voyons voir...

Premier niveau assez facile : empiler des tranches de cake de couleurs différentes en fonction des désidératas des clients. Les piles de gâteaux se régénèrent d'elles-même et les clients n'apparaissent qu'un à la fois. Pour l'instant, c'est un peu chiant mais persévérons...

Présentation du niveau : pas d'objectifs à atteindre, assez rare, seulement en faire le plus possible dans le temps imparti et là, vous pouvez voir que j'ai la classe. On trouve par contre un indice de "mood" (elle est déprimée la serveuse?) et de "mastery". En gros, plus on a de pourboires, plus on devient balèze et on peut acheter des améliorations à un black en salopette qui visiblement aime les films de gladiateurs (mais j'ai paumé la capture d'écran).
Côté graphismes et sons, c'est très chouette, ils ont fait des efforts les Russes (je dis Russes parce que dans la liste déroulante des crédits, ils s'appellent tous Serguei ou Ekaterina). Ah oui, ne comptez pas sur moi pour commenter les musiques, je les coupe toujours parce que la lobotomie, oui mais à petites doses.
Alors la blondasse déprime, sa maison (et sa môman sans doute) lui manque. Qu'à cela ne tienne, sa patronne la met en relation avec un autre amateur de salopette et c'est parti pour le chantier de construction. Il faut que la serveuse soit dans un bon mood sinon c'est la cata au pays des capuccino.

Ouhlala, un trou dans le sol, c'est trôbôôôôôô. Pfff, cagole...

Petit à petit, on achète de nouveaux appareils pour la boutique, diversifiant l'offre et donc on se met à cliquer partout à la fois. Ça commence à devenir intéressant. Il faut jongler entre les sous que l'on met dans le magasin et ceux pour la maison mais au final, tout va dans la poche de l'internationale des gladiateurs en salopette...
Seul problème : pas d'objectifs, pas de carte récapitulant les niveaux à faire (un beau parcours du village de bouseux à Hollywood) donc euh... ça s'arrête quand? Quand la maison est finie? Quand le café a toutes les améliorations? Quand les deux salopettes vont se marier en Californie?

La maison progresse, pas le choix, à la fin de chaque niveau, la blonde (j'ai oublié son nom) pousse des soupirs à fendre l'âme et ça me crispe donc je lui fais des escaliers. Cherchez pas, c'est boréal...

Les niveaux sont assez courts, demandent un peu de coordination et de concentration mais rien d'infaisable. Quelques astuces :
- au début de chaque niveau, avant l'arrivée du premier client, vous avez quelques secondes pour lancer un produit d'avance de chaque. Préparez les, c'est toujours ça de gagné.
- faites les gâteaux en dernier. Dans une commande gatal, coca, barbapapa, on fait la barbapapa en premier (on en relance une et on prend celle faite d'avance), le coca (pareil que Miguel) et enfin on empile le gatal. Ça a plutôt bien fonctionné pour moi.

Verdict : bon petit jeu, je recommande même s'il est très vite fini.

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